LES EFFETS DU CHLORE SUR L'ORGANISME

Extrait des documents produits par les organismes « Ddass et Ddrass » portant sur l’utilisation du chlore, ses aspects positifs et négatifs sur la santé.

COMMENT ET POURQUOI LE SCANDALE DU CHLORE ARRIVE ?

En effet, après le scandale de l’amiante, viendra-t-il celui du chlore dans l’eau du robinet ? La plupart des français se rappellent que «la cancérogénicité de l’amiante a été connue dès les années 1960 » et que nos pouvoirs publics comme le Sénat, le savaient !

Par contre, aux Etats-Unis, c’est en 1970 que la US Consumer Product Safety Commission (CPSC) a commencé à interdire l’utilisation de l’amiante dans certains équipements. Nous, en France, on a réagit 27 ans plus tard pour mettre en application les premiers textes qui aboutiront à l’interdiction de l’utilisation de ce produit dangereux.

Cette longue histoire de l’amiante rejaillit dans le processus concernant le tabac qui suit scrupuleusement la même évolution !

MAIS QU’EN EST-IL DU CHLORE ?

Le même scandale arrive sous le couvert de la santé publique et le coté sanitaire du chlore celui-ci vous rend malade… En effet, pour nos autorités sanitaires, le chlore est inoffensif !

Quoique certains organismes comme les Ddass & Drass des Pays de la Loire : DDASS Pays de Loire

Quels effets du chlore ingéré sur votre santé ?

Vous trouverez les effets du clore absorbé par la peau et vos poumons lorsque vous prenez une douche dans un prochain article !

QUELS EFFETS DU CHLORE INGÉRÉ SUR VOTRE SANTÉ ?

Vous trouverez les effets du clore absorbé par la peau et vos poumons lorsque vous prenez une douche dans un prochain article !

VOYONS VOIR CE QUE NOUS DIT LES DDASS & DRASS DES PAYS DE LA LOIRE

« Le chlore réagit avec les matières organiques d’origine naturelle présentes dans l’eau, comme les feuilles en décomposition. Cette réaction chimique produit une famille de composés appelés sous-produits de la chloration. Ceux qu’on rencontre le plus souvent sont les trihalométhanes (THM), notamment le chloroforme.

La concentration de THM dans l’eau potable peut dépendre de plusieurs facteurs, dont la saison et la source de l’eau potable. Plusieurs études chez l’homme ont également révélé un lien entre l’exposition prolongée à des concentrations élevées de sous-produits de la chloration et une incidence accrue de cancer (cancer de la vessie et peut-être du côlon) chez les sujets ayant consommé de l’eau chlorée pendant trente-cinq ans ou plus. Les concentrations élevées de THM peuvent également avoir un effet sur la grossesse. […]

Une étude sur les femmes ayant eu le cancer du sein, réalisée par des chercheurs de l’Université d’Hartford au Connecticut, a montré que « les femmes ayant un cancer du sein avaient, dans les tissus de leur poitrine, une concentration en composants organochlorés 50% à 60% plus élevée que les femmes sans cancer du sein ».

POURQUOI LES POUVOIRS PUBLICS PRÉFÈRENT LE CANCER AUX AUTRES MALADIES D’APRÈS LES DDASS & DRASS ?

« Les données scientifiques montrent que les avantages de la chloration de l’eau de consommation (réduction des maladies hydriques – risque sanitaire immédiat) surpassent les risques sanitaires à long terme que peuvent poser les THM et autres sous-produits. »

Alors tout d’abord on ne peut pas faire autrement que de chlorer l’eau pour des raisons sanitaires et de sécurité. Il faut faire attention aux attaques bactériologiques : voir VIGIPIRATE. Puis, pour des questions de santé, il est préférable de traiter l’eau au chlore pour éviter des maladies hydriques plutôt que les cancers à long terme !

QUELLES SOLUTIONS NOUS CONSEILLENT LES DDASS & DRASS?

Ces organismes des Pays de la Loire vous conseille d’utiliser de concert avec des méthodes modernes de filtration de l’eau, le chlore est efficace contre presque tous les microorganismes. Il est facile à utiliser et de faibles quantités de chlore demeurent dans l’eau jusqu’au robinet du consommateur, ce qui permet d’éviter toute recontamination par les micro-organismes entre l’usine de traitement et l’utilisateur. »

QUE DISENT LES MÉDECINS ET SCIENTIFIQUES AMÉRICAINS ?

La littérature étrangère nous apporte une quantité impressionnante d’articles scientifiques qui parlent de la relation entre le chlore dans l’eau et différentes maladies, dont les cancers de la vessie, du colon, du rectum, et même du sein.

Le docteur Herbert Schwartz

Biologiste et chimiste au Cumberlan County College

« Le chlore est si dangereux, qu’il devrait être interdit ». Ajouter du chlore dans l’eau c’est comme mettre en place une bombe à retardement. Cancer, troubles cardiaques, vieillissement mental et physique précoce
sont des effets attribuables au chlore se trouvant dans l’eau de robinet. Il nous fait vieillir avant l’heure en accélérant les symptômes du vieillissement tels que le durcissement des artères. Je crois que si le chlore était proposé, aujourd’hui, pour la première fois, il serait interdit par la F.D.A. équivalent américain de l’AFSSA. »

Le Docteur Richard Passwater

Biochimiste de renom, dans Super Nutrition for Healthy Hearts

« L’origine des maladies cardiaques est apparentée à l’origine du cancer« . La chloration pourrait très bien être un facteur clé reliant ces deux grandes maladies. Le chlore crée les THM et les haloformes. Ces polluants chimiques puissants peuvent déclencher la production d’excès de radicaux libres dans notre corps. Les radicaux libres causent des dommages aux cellules. L’excès de radicaux libres peut engendrer sur les cellules musculaires lisses de la paroi artérielle des désordres et créer des mutations. La plaque fibreuse est par conséquent formée essentiellement d’une tumeur bénigne. Malheureusement, cette tumeur est liée aux maladies cardiaques. Si votre eau potable est chlorée, ne buvez pas, vous pouvez acheter des filtres très efficaces qui permettront d’éliminer 99% des THM ou acheter bonne eau de source embouteillée. Ce simple geste de sauvegarde peut éviter des milliers de maladies cardiaques et de cancers. »

LE CHLORE EST UN AGENT OXYDANT QUI PROVOQUE, À LONG TERME, DES EFFETS SECONDAIRES GRAVES.

Dans les pays dits « avancés », le combat d’aujourd’hui n’est plus le combat d’hier.

Il y a quelques décennies, les scientifiques devaient lutter contre les maladies hydriques comme le choléra, la polio, l’hépatite A et C, la gastro-entérite, le typhus ou la dysenterie.

La mise en place d’une chloration systématique des eaux de distribution, la mise au point d’antibiotiques et la généralisation des vaccinations obligatoires ont permis d’éradiquer ces différentes maladies.

Aujourd’hui le consommateur considère cette situation comme acquise et veut davantage de qualité et de garanties.

Certes le chlore a l’avantage, pour un faible coût, de tuer les bactéries et les virus dans l’eau mais il a des défauts (comme toute chose par ailleurs) : le chlore, c’est comme un pesticide, il tue la vermine mais vous empoisonne à petit feu.

Le chlore dans l’eau c’est aussi comme le tabac ou l’amiante.

Si vous y êtes exposé très occasionnellement vous ne risquez rien. Par contre si vous en absorbez de petites doses chaque jour pendant 30 ans alors, alors là… Vous risquez réellement des ennuis se santé.

Il faut savoir que le chlore, sous forme de gaz, ou de javel est un poison violent.

En effet, je défie quiconque de respirer une seule bouffée de chlore gazeux ou de boire un verre d’eau de Javel sans se retrouver aux urgences de l’hôpital.

Non seulement, le chlore est un poison, mais c’est une bombe a retardement.

Même à très petites doses, il réagit avec les matières organiques contenues dans l’eau pour former des composés chimiques cancérigènes dont les plus étudiés sont appelés T.H.M (Tri Halo Méthanes).

Dans la littérature américaine, canadienne et espagnole, vous trouverez de nombreux articles qui montrent que les dérivés du chlore peuvent provoquer des cancers du côlon, du rectum, de la vessie, de la vésicule biliaire, des malformations congénitales et des maladies cardiovasculaires.

Des chercheurs américains du Wisconsin viennent même de démontrer une relation étroite entre le cancer du sein et la consommation d’eau chlorée.

Selon le US Council of Environnemental Quality, « le risque de cancer chez les personnes buvant de l’eau chlorée est de 93% plus élevé que chez ceux dont l’eau ne contient pas de chlore ».

Le docteur Joseph Price affirme qu’un des facteurs de l’apparition de l’athérosclérose (à l’origine des accidents circulatoires cardiaques ou cérébraux) est le chlore.

L’accord récent entre l’Union européenne et les Etats-Unis vient de mettre fin à la guerre du boeuf aux hormones qui ne sera pas importé en France du poulet américain traité au chlore. En effet, les Américains utilisent des bains de chlore pour éliminer les microbes pathogènes présents sur la viande des poulets élevés sans précaution d’hygiène. Les doutes portent sur les résidus chlorés qui resteraient présents dans la viande suite à l’action du chlore.

SOMMES-NOUS VRAIMENT À L’ABRI DE CES RÉSIDUS CHLORÉS ?

En effet, si le poulet chloré nous paraît une aberration, nous acceptons sans le moindre arrière pensé de consommer tous les jours une eau plus ou moins chlorée délivrée au robinet. Le chlore est absolument indispensable pour maintenir l’état sanitaire de l’eau qui circule dans des canalisations d’un réseau vétuste, ne pouvant être nettoyé et de ce fait pouvant contaminer l’eau potable. Le chlore, même s’il n’élimine pas tous les pathogènes, (par exemple les cryptosporidium et les giardia sont des organismes pathogènes résistants), est utilisé avec succès depuis près d’un siècle et a permis de diminuer considérablement les maladies liées à l’eau à travers le monde. Néanmoins, on peut s’interroger sur l’effet à long terme de l’ingestion régulière de cette molécule très réactive.

LES CONCLUSIONS DE L’INVS

Un rapport de l’institut de veille sanitaire daté de 2008 a été passé sous silence bien que ses conclusions soient pour le moins inquiétantes. Il faut en effet savoir que le chlore libre utilisé pour désinfecter l’eau réagit avec la matière organique présente dans les eaux brutes et donne naissance à des dérivés qui restent présents dans l’eau. L’étude présentée dans ce rapport décrit l’évolution de trois familles de sous-produits de chloration (les trihalométhanes, les acides haloacétiques et les haloacétonitriles), observée dans quatre réseaux d’eau français en 2006 et 2007. Concernant les trihalométhanes les concentrations doublent en moyenne entre l’usine et le robinet. En effet, le chlore libre s’évapore dans le réseau. Aussi du chlore est réinjecté dans certains points des canalisations.

LA CHLORATION DE NOTRE EAU N’EST PAS MAÎTRISÉE

La réglementation française impose une valeur limite sur les trihalométhanes dans l’eau potable. Mais la majorité des contrôles sont effectués en sortie d’usine de traitement et non sur le réseau.

La réglementation sur l’eau potable ne définit d’ailleurs pas un niveau précis de chlore limite acceptable. Les seules recommandations sont mentionnées dans le plan Vigipirate qui impose une teneur minimale en chlore libre de 0,3 mg/L à la sortie des usines de traitement.

Globalement, il apparaît que la maîtrise de la teneur en chlore dans le réseau est peu fiable. Ce qui provoque des risques de sous-dosage qui donne lieu à des épidémies de gastro-entérites dans la population ou encore à des surdosages dont les conséquences sont mal évaluées au niveau des sous-produits.

RISQUES DE CANCER POUR L’HOMME ET DANGERS POUR LES FEMMES ENCEINTES

En effet, des études épidémiologiques ont montré une association entre les sousproduits de chloration présents dans l’eau potable et certains cancers chez l’homme, notamment de la vessie et du colon. Le manque de cohérence entre les études empêche cependant d’établir corrélation correcte entre la dose et l’effet. Il est difficile de mesurer l’exposition de la population, rendue difficile par le nombre de voies d’exposition
impliquées et les variations importantes des concentrations dans les réseaux d’eau. Mais aujourd’hui aucune étude d’envergure et indépendante n’a été mise en oeuvre par les autorités.

D’autres risques ont été évoqués outre-Atlantique, au moins dix études épidémiologiques semblables, incluant une étude canadienne de l’Université de Dalhousie, ont démontré des risques élevés de problèmes à la naissance et de fausses couches chez les femmes buvant de l’eau du robinet chlorée.
On ne connaît pas les effets à moyen et long terme de la consommation d’une eau chlorée. Mais il est temps que les consommateurs soient mieux informés des risques potentiels. Évidemment, on peut comprendre que les municipalités et les sociétés de traitement des eaux brutes ne souhaitent pas mettre en avant ce type de risques puisqu’ils vantent la qualité de leur eau afin d’en accroître régulièrement le prix. S’il cette
consommation devait être limitée, notamment pour les femmes enceintes, cela risquerait de remettre en cause ces hausses de prix.

LES PISCINES CHLORÉES FAVORISENT-ELLES LE DÉVELOPPEMENT DE L’ASTHME CHEZ LES BÉBÉS NAGEURS ?

Les maîtres-nageurs ont obtenu que les maladies liées aux piscines chlorées (syndrome de Brooks, asthme, insuffisances respiratoires) soient reconnues comme des maladies professionnelles. Mais quel est l’impact de ce chlore sur les bébés nageurs ? Les résultats d’une étude menée par l’équipe du Professeur Bernard à l’Université de Louvain sont probants. Ce dernier a étudié une population de 341 enfants âgés de 8 à 12 ans, parmi lesquels 41 ex-bébés nageurs : « 16,3% des anciens bébés nageurs avaient un asthme diagnostiqué, contre 7,7% des autres enfants. 9,3% présentaient un asthme à l’effort contre 3,7% chez les autres enfants. Enfin, 6,5% des ex-bébés nageurs avaient présenté des épisodes récurrents de bronchite, contre 3,7% des autres enfants ».